Aujourd’hui la cigarette n’est plus vue du tout comme quelque chose de cool, comme elle pouvait l’être il y a encore quinze ou vingt ans. A l’époque il était de bon ton d’être vu en train de fumer, et il arrivait même que des vedettes du show business sortent leur paquet de cigarettes sur les plateaux de télévision et en fument une, couvrant alors l’image de volutes bleutées. Désormais on ne fume plus ni dans les restaurants, ni dans les bars, ni dans les avions ni même dans les trains. La cigarette tue, nous le savons, et cela est écrit en grand sur les paquets de toutes les marques de tabac distribuées en Europe. Mais que faire alors, quand on a pris cette mauvaise habitude, jeune, et que l’on ne peut que difficilement s’en passer ?
Passer à la cigarette électronique
Le réflexe de porter la cigarette à sa bouche et d’inhaler est, d’après le témoignage de nombreux fumeurs, le geste qu’il est le plus difficile de ne plus faire quand on souhaite arrêter le tabac. Or aujourd’hui on peut pourtant le faire, ce geste, mais sans inhaler tous les produits dangereux contenus dans la fumée d’une cigarette ou d’un cigare : il suffit de vapoter avec une cigarette électronique. Les médecins sont formels à son sujet : elle est moins nocive pour la santé qu’une blonde, qu’une brune ou qu’une roulée. De plus on en trouve aujourd’hui partout en ligne, avec des e-liquides aux goûts innombrables.
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Penser à la santé des autres
L’autre conséquence de l’arrêt du tabac pour un passage à l’e-cigarette c’est le fait de ne plus polluer l’air des autres. S’il est désormais interdit de fumer dans les lieux publics – gares, ; aéroports, cinémas, théâtres, universités…- de nombreuses personnes fument encore en terrasse, dans la rue, voire chez eux, et par là ils empoisonnent les personnes qui les entourent. C’est l’un des principaux maux du tabagisme : nuire à la santé des autres. Alors passer à la solution alternative que représente la cigarette électronique devient aussi une nécessité sociétale.
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